Il s’agissait de soumettre au Comité Français du Patrimoine Mondial (CFPM) la méthode de délimitation du périmètre de la candidature, à partir d’une zone d’étude riche de 26 communes et de plus de 500 monuments mégalithiques (menhirs, dolmens, tumuli, alignements, cromlech, etc.).
Le CFPM, a salué l'avancement significatif de la démarche de délimitation du bien et s'est prononcé en faveur de la poursuite de candidature à l'inscription sur la Liste du patrimoine mondial.
Il recommande par rapport à l’association du projet :
- de lancer rapidement une étude paysagère ;
- de prendre en compte les milieux naturels dont la protection peut aider à la gestion future du bien ;
- de se doter d'un atlas cartographique ;
- de poursuivre et renforcer le travail collectif ;
- de poursuivre la mise en place des protections et poursuivre la réflexion sur le plan de gestion, en coordonnant les outils (code du patrimoine, code de l'environnement, code de l'urbanisme).
Les travaux de délimitation du périmètre de la candidature se poursuivront donc cette année, et le plan de gestion, troisième et dernière étape du projet de candidature, devrait démarrer fin 2020 : il s’agira de formaliser les objectifs et actions portées par le territoire pour protéger, valoriser et transmettre aux générations futures ces œuvres architecturales érigées par les femmes et hommes du Néolithique (- 7000 à - 4500 avant le présent).